À deux jours du déplacement à Rodez, Karel Geraerts et Patrick Zabi se sont présentés en conférence de presse :
Les citations :
Karel Geraerts : « Personne ne s’attendait à ce résultat face à Grenoble. C’est vrai que nous avons commis des erreurs dans ce match, mais nous ne devons pas le perdre. La semaine dernière, nous avons disputé un match amical face à Charleroi, une très bonne équipe belge. J’y ai vu beaucoup de bonnes choses, ce qui montre que nous avons une bonne équipe et un bon groupe, qui montre de belles choses ces dernières semaines malgré notre dernière défaire à domicile. »
« Oui, Rodez est une équipe qui connaît très bien la Ligue 2. Mais j’ai envie de dire que chaque déplacement est, entre guillemets, un “match piège”. De ce que j’ai pu voir, c’est un beau stade, avec une ambiance particulière, beaucoup de locaux qui savent créer une vraie atmosphère. J’ai hâte de découvrir ça, et surtout de voir comment on va répondre sur le terrain. »
« Nous devons montrer ensemble, l’équipe, le staff, tout le club, que le match contre Grenoble était un accident de parcours, et que nous restons dans la continuité de ce que nous faisions jusque-là. (…) Pour jouer le haut du classement, cela ne vient pas juste avec des paroles, on doit le montrer à chaque match. Il faut qu’on trouve une meilleure stabilité, notamment dans nos résultats. Notre jeu peut encore progresser, mais les résultats sont les plus importants. »
Patrick Zabi : « “Zabi la magie”, c’est un surnom que mes amis m’ont donné. Quand on jouait ensemble, je créais mes propres gestes, je faisais des choses inattendues. Ils m’ont surnommé “La Magie”, et c’est resté. »
« Mon intégration n’a pas été facile au début, mais avec le travail et les encouragements du staff, car j’ai d’ailleurs commencé avec le groupe Pro 2 , j’ai beaucoup appris. Ils ont été présents dans les bons comme dans les mauvais moments. (…) J’ai des coéquipiers aussi pour épaulé dans le vestiaire : Oumar Diakité, Yaya Fofana et Mory Gbane. Teddy Teuma et Maxime Busi me donnent aussi beaucoup de conseils. Tout le monde est là pour les autres. Aujourd’hui, je me sens vraiment chez moi. »
« Ce qui a été le plus difficile pour moi à mon arrivée, c’est mon carton rouge à Lyon. Je ne m’y attendais pas, je n’étais pas préparé à ça. Mais je suis resté fort, j’ai continué à travailler, car j’ai compris que je n’étais pas encore prêt. Je devais l’accepter, et je n’avais pas d’autre choix que de continuer à travailler. »
La conférence de presse :
